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Dans l’industrie, les départs d’un technicien sont rarement anticipés. Pourtant, une simple mutation, un accident ou une démission peut priver une équipe d’années de savoir-faire. Prenons le cas d’une entreprise de sous-traitance industrielle qui s’appuyait sur un seul opérateur pour gérer un centre d’usinage complexe : son départ inattendu a entraîné deux semaines de retard de production et plusieurs interventions d’urgence pour rétablir les réglages perdus. Le savoir était présent, mais non partagé. C’est un exemple typique de perte des savoirs métiers.

Le risque de perte des savoirs techniques en entreprise

On croit souvent que tout est déjà documenté. Procédures, modes opératoires, fiches de maintenance… Mais ce qui compte vraiment, c’est ce que l’opérateur ne note jamais : les ajustements au bruit de la machine, les astuces de nettoyage pour éviter les pannes, les habitudes d’un client ou les pièges à éviter sur une série critique.

Quand cette connaissance part avec la personne, l’entreprise recule. Cela provoque des pertes de temps, des tensions, des erreurs qu’on pensait avoir résolues. Et souvent, une perte de confiance chez les jeunes embauchés qui n’ont plus personne pour les guider. Dans un contexte de départ technicien industrie de plus en plus fréquent, les conséquences sont lourdes.

Ce constat est partagé par 67 % des entreprises industrielles françaises, qui considèrent la perte de compétences techniques comme un frein majeur à leur compétitivité. À l’horizon 2030, 1 ouvrier qualifié sur 2 aura quitté l’industrie en France, par départ à la retraite ou reconversion, renforçant l’urgence d’une transmission des savoirs en entreprise bien structurée.

Une base de connaissances qui vit avec le terrain

Pour que le savoir reste, il faut qu’il circule. Cela suppose de créer une base de connaissances industrielle qui n’est pas un “placard numérique”, mais un outil vivant, connecté au quotidien des équipes. Cela peut commencer très simplement : un technicien note après chaque réglage particulier ce qu’il a fait et pourquoi. Un contremaître relie ces notes à des machines ou à des postes de travail. Et bientôt, d’autres y ajoutent leurs propres observations.

C’est le principe d’une digitalisation des savoirs métiers utile : fluide, ancrée dans l’action, pas dans l’administratif. Elle s’inscrit pleinement dans une logique de solution gestion des connaissances au service de la continuité et de l’efficacité opérationnelle.

82 % des entreprises ayant mis en place une base de connaissances interne constatent une réduction des erreurs récurrentes et une montée en compétences plus rapide des nouvelles recrues

Construire une culture du partage sans alourdir le quotidien

La transmission n’est pas naturelle si on ne la valorise pas. Certaines équipes prennent l’habitude d’échanger en fin de poste, de laisser des notes vocales, ou de s’appuyer sur un outil capitalisation des savoirs.

C’est ce que propose ARKYCE : une application IA qui permet de structurer les retours d’expérience, d’organiser le savoir de manière contextuelle, et de le rendre visible, sans bouleverser les habitudes. L’outil s’intègre dans le flux de travail, sans imposer un temps supplémentaire.

Quand un technicien annonce son départ, il est déjà tard. Quand il ne l’annonce pas, c’est pire. Ce qui se joue ici, ce n’est pas seulement un remplacement. C’est la continuité de ce qui fonctionne.
Mettre en place une solution comme ARKYCE permet de capitaliser ce qui est là, tant que c’est encore vivant. Et cela change tout : on ne perd plus le savoir, on le fait grandir.
Besoin d’un outil concret pour sécuriser et transmettre vos savoirs métiers ? Essayez ARKYCE dès aujourd’hui et gardez votre expertise au cœur de votre entreprise.