
Dans l’industrie, on sait chiffrer la valeur d’une machine ou d’un stock. Mais combien vaut une consigne de maintenance bien transmise ? Ou le savoir faire d’un technicien capable d’identifier l’origine d’une panne en quelques secondes ? Tant que ce savoir circule, il reste invisible dans les comptes. Le jour où il disparaît, la facture devient tangible : retards de production, interventions plus longues, perte de compétitivité. La mauvaise gestion des connaissances ne relève donc pas uniquement de l’organisation : elle impacte directement la performance financière.
Les coûts invisibles d’une mauvaise gestion des savoirs
Selon McKinsey, les employés passent en moyenne 1,8 heure par jour à rechercher de l’information, soit près de 20 % de leur temps de travail. Pour une équipe de 50 personnes, cela représente l’équivalent de 8 postes à temps plein perdus, sans valeur créée.
À ces pertes de productivité s’ajoutent :
- Les erreurs répétées : une intervention mal réalisée peut coûter plusieurs milliers d’euros, parfois davantage selon l’équipement concerné.
- La non-qualité : dans l’aéronautique ou la pharmaceutique, un défaut dû à une transmission incomplète peut entraîner un rappel de production chiffré en millions.
- Le turnover : quand un expert part sans avoir transmis ses savoirs, l’entreprise réinvestit massivement en formation pour recréer une compétence déjà existante.
Ces coûts n’apparaissent pas sur une ligne comptable, mais ils grignotent en continu la rentabilité. Ils sont directement liés à une mauvaise gestion des connaissances et à l’absence d’une base de connaissances industrielle solide.
Le ROI d’une gestion de connaissances structurée
À l’inverse, la capitalisation des connaissances se traduit par des gains financiers concrets :
- Onboarding accéléré : si un nouvel opérateur est opérationnel en trois semaines plutôt qu’en trois mois, l’économie est immédiate.
- Arrêts de production limités : une procédure claire ou un retour d’expérience accessible évite des heures, voire des jours d’immobilisation.
- Moins de non-qualité : l’accès à la bonne information au bon moment réduit fortement les reprises et les pénalités.
Chaque heure retrouvée, chaque erreur évitée et chaque processus fiabilisé se transforme en retour sur investissement. Là où une entreprise perd des centaines de milliers d’euros par an en savoirs dispersés, une solution adaptée convertit ces pertes en gains durables. C’est précisément le rôle d’une gestion des connaissances efficace.
ARKYCE, transformer un coût caché en levier de compétitivité
C’est là qu’intervient ARKYCE, l’application SaaS d’Efimove conçue pour la gestion et la transmission des savoirs industriels. Elle ne se limite pas au stockage documentaire :
- Extraction des savoirs tacites pour éviter qu’ils ne disparaissent avec un départ en retraite ou une mobilité interne.
- Accès direct sur le terrain afin que chaque technicien ait l’information utile au moment opportun.
- Sécurité et souveraineté intégrées, pour garantir un usage maîtrisé et conforme.
ARKYCE ne représente pas un coût supplémentaire : elle permet d’éviter des pertes massives de savoirs faires et de sécuriser la compétitivité. Structurer ses connaissances n’est donc pas une option organisationnelle, mais une décision stratégique et financière.
Les entreprises qui négligent la gestion de leurs connaissances s’exposent à des pertes invisibles mais considérables. Celles qui choisissent de les structurer transforment un risque en avantage compétitif durable. Le choix se pose alors en termes simples : subir le coût de l’oubli ou investir dans une base de connaissances industrielle qui valorise chaque expertise.
Vous souhaitez mesurer concrètement l’impact d’ARKYCE dans votre organisation ? Essayez dès maintenant notre solution et découvrez son potentiel dans vos processus quotidiens.